“On imagine trop souvent que la litterature brosse du chevalier un portrait flatteur et seduisant. Or, dans les pastourelles, le chevalier apparait frequemment sous l'aspect d'un seducteur pitoyable ne parvenant pas toujours a trouver grace aux yeux des bergeres, meme tres pauvres. Son "prestige" naturel agit rarement seul: il doit y adjoindre des recompenses venales, la promesse du mariage et autres tromperies, voire, tres frequemment, l'usage de la force et du viol (admis aussi par Andre le Chapelain pour les paysannes). Dans beaucoup de cas, la bergere echappe au chevalier ou le tourne en ridicule. La peinture sociale et morale de la chevalerie doit en tenir compte.” Resumen obtenido de la pagina dedicada a Jean Flori
Lugar de publicacion original: Caen