“Tout au long du 12eme siecle, l'Eglise a tente d'inculquer ses propres valeurs aux guerriers, aux chevaliers. Elle l'a fait par l'intermediaire des theoriciens et des pedagogues, par la liturgie, puis par le moyen des traites de chevalerie, et meme, indirectement, par le moyen de la litterature que les clercs investissent pour contrebalancer ou “baptiser” l'ideologie tres profane des romans les plus populaires (Tristan et Yseult, romans arthuriens) en y infusant sa propre ethique. Elle christianise ainsi les themes les plus laics, et meme profanes, par une interpretation mystique qui en altere les traits subversifs et les recupere en les transformant en allegories a signification chretienne.” Resumen obtenido de la pagina dedicada a Jean Flori
Lugar de publicacion original: Greifswald